Signature du partenariat Jungle et UnisLaSalle

Gilles Dreyfus, CEO et co-fondateur de Jungle*, plus grande ferme verticale de France et Philippe Choquet, directeur général d’UniLaSalle**, ont signé ce 6 décembre, sur le campus d’UniLaSalle Rouen le lancement de la Chaire “Culture Indoor & Résilience”.

La préservation des milieux et des ressources est prioritaire parmi les objectifs de développement durable de l’ONU. A cette situation s’ajoute l’évolution climatique qui impose aux agricultures de relever les défis des transitions agroécologiques, alimentaires et énergétiques auxquels nos sociétés sont confrontées. Dans ce contexte, la Chaire de Recherche et d’Innovation "Culture Indoor & Résiliences" scelle le rapprochement des deux entités que sont Jungle, spécialiste des fermes verticales, et l’Institut Polytechnique UniLaSalle, école supérieure d’enseignement et de recherche. Leur objectif commun est de consolider les références scientifiques nécessaires à l’optimisation de productions en conditions contrôlées.Une synergie qui permettra aux ingénieurs agronomes de Jungle et à l’unité de recherche AGHYLE (Agro-écologie, Hydrogéochimie, Milieux & Ressources) d’UniLaSalle de faire des tests en environnement contrôlé sur de nouvelles espèces végétales, pour demain s’adapter aux épisodes de raréfaction, et proposer des fermes verticales “clés en main” aux acteurs agricoles et de la cosmétique.
Plusieurs enjeux ont été identifiés : la nécessité de se concentrer sur des plants à haute valeur ajoutée, le développement de productions végétales d’intérêt nutritionnel, gustatif et olfactif; la sécurisation des revenus pour les agriculteurs; ainsi que la lutte contre le réchauffement climatique et l’épuisement des sols.

Pluseiurs objectifs en ligne de mire

L'objectif est aussi d’étudier l’effet des facteurs environnementaux déterminants dans la croissance végétale (milieux nutritifs et climats) ; de sélectionner et d’analyser les performances relatives de différentes variétés selon leur finalité (alimentaire et non alimentaire) et aussi de conforter des données technicoéconomiques de ces productions alternatives notamment au regard des coûts énergétiques potentiels.